dimanche 26 avril 2009
vendredi 24 avril 2009
Les p'tits papiers
Moi je ne m'endors pas tout de suite quand Maman me couche, je papotte, je tourne, je me relève, j'attrape les jouets à ma portée sur le petit meuble ou dans le porte-tout en tissu...
Laissez parler
... et quand j'arrive à attraper le paquet de mouchoirs en papier, je m'éclate à en faire plein de petites miettes que je jette par-dessus bord !
Laissez parler Les p'tits papiers
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
...
A l'occasion
Papier chiffon
Puissent-ils un soir
Papier buvard
Vous consoler
...
...
Et puis je m'endors.
Et puis je m'endors.
mercredi 22 avril 2009
mardi 21 avril 2009
Etanche
Le Jonas est 100% étanche !
Technique de bain longuement utilisée cet hiver pour bien déboucher le nez avant la nuit. Mieux que tous les spray et autres dosettes de sérum !
lundi 20 avril 2009
Je marche
Ce soir, Marie-Line nous a invité chez elle pour souffler ma première bougie.
Oui, la première dans tous les sens du terme. Car figurez-vous que c'est la première qu'on me fait souffler même si mon anniversaire est déjà passé de 3 jours ! Tous les gâteaux ou les bougies que j'ai vu passer, c'était pour ma maman qui est née 11 jours avant moi. Pour moi : rien, niet, nada ! J'veux pas mal le prendre mais tout de même !
Mais revenons en à mes exploits.
Vous savez bien que je sais marcher un peu tout seul, que j'arrive tant bien que mal à aligner 3-4 pas dès que j'y suis forcé... mais de là à m'y mettre tout seul, fallait pas pousser.
Bin, là, chez ma marraine, j'ai lâché le bord du canapé pour aller la voir... puis lâché son genou pour aller voir Maman... puis encore lâché mon appuis pour revenir au canapé.
Faut dire que c'était une sacré soirée : on a mangé, on a bu, on a joué à la pétanque, et pis même on a fini par un cap's avec les capsules de Despé ! Couchés à 23h, je vous explique pas la gueule de bois le lendemain chez Ouazna. (D'ailleurs, il n'a pas réitéré ses exploits depuis : il demande la main comme avant !)
(Photos à venir)
Oui, la première dans tous les sens du terme. Car figurez-vous que c'est la première qu'on me fait souffler même si mon anniversaire est déjà passé de 3 jours ! Tous les gâteaux ou les bougies que j'ai vu passer, c'était pour ma maman qui est née 11 jours avant moi. Pour moi : rien, niet, nada ! J'veux pas mal le prendre mais tout de même !
Mais revenons en à mes exploits.
Vous savez bien que je sais marcher un peu tout seul, que j'arrive tant bien que mal à aligner 3-4 pas dès que j'y suis forcé... mais de là à m'y mettre tout seul, fallait pas pousser.
Bin, là, chez ma marraine, j'ai lâché le bord du canapé pour aller la voir... puis lâché son genou pour aller voir Maman... puis encore lâché mon appuis pour revenir au canapé.
Faut dire que c'était une sacré soirée : on a mangé, on a bu, on a joué à la pétanque, et pis même on a fini par un cap's avec les capsules de Despé ! Couchés à 23h, je vous explique pas la gueule de bois le lendemain chez Ouazna. (D'ailleurs, il n'a pas réitéré ses exploits depuis : il demande la main comme avant !)
(Photos à venir)
vendredi 17 avril 2009
1 an
Et voilà le moment tant attendu, celui où je sais qu'il faudra faire comme un bilan. Deux mois que j'angoisse car je n'arriverai jamais à vous pondre un billet digne d'une vraie mère émerveillée (genre : "Tu es si grand mon amour et si petit encore. Je ne t'ai pas vu grandir. Tu sais m'émerveiller chaque jour. Tes yeux sont un puits de bonheur et jamais je ne ma lasserai d'être à tes cotés. Je t'aime mon trésor.")
Tous ce qui me venait à l'esprit c'est des trucs du genre : Tu nous a mis à rude épreuve. Nous avons du chaque jour nous surpasser pour rester calme avec toi. Heureusement que ta soeur est patiente car nous n'avons plus le loisir de jouer tranquillement avec elle. Tu nous a fais découvrir à quel point un hiver peut être long et difficile avec toutes tes maladies. Nous nous remettons avec peine de cette première année éprouvante. C'est si difficile de t'aimer quand ton seul mode de communication est de nous hurler dans les oreilles. Comment apprécier tes sourires quand ils suivent 1h de crise à pleins poumons ? Même si j'avais essayé de le formuler au mieux, vous auriez compris. Bref, je redoutais ce 17 avril...
... et puis finalement les maladies d'hiver s'en sont en allées au cours du mois de février.
... et puis tu as commencé à faire des gestes pour désigner ce que tu voulais ou ne voulais pas AVANT de hurler comme un sauvage.
... et puis tu t'es mis à te déplacer à 4 pattes sans râler.
... et puis tu remanges de tout et avec bonheur.
... et puis te mets même à parler pour dire Ava (Au revoir) en secouant la main à bon escient.
... Tu redoubles de sourires.
... Tu fais des câlins à tes peluches pour nous faire fondre.
... Tu esquisses tes premiers pas.
... Tu joues de longs moments seul dans la chambre de Lucile.
... Tu apprends à donner et à ne plus tout jeter.
Bref, nous reprenons peu à peu pied pour profiter de ta petite personne.
... Et alors les crises "roulé par terre" que tu nous fais et la montagne de jouets en vrac dans tout l'appart' que tu génères derrière toi peuvent alors passer sereinement.
(Oh j'avoue ! Des soirs comme hier, tu sais à nouveau me pousser dans mes retranchement, me voler mes dernières miettes d'énergie et me faire aboyer sur toute la famille,... mais dans l'ensemble je crois que je t'aime à nouveau. Bon anniversaire mon petit bout.)
Tous ce qui me venait à l'esprit c'est des trucs du genre : Tu nous a mis à rude épreuve. Nous avons du chaque jour nous surpasser pour rester calme avec toi. Heureusement que ta soeur est patiente car nous n'avons plus le loisir de jouer tranquillement avec elle. Tu nous a fais découvrir à quel point un hiver peut être long et difficile avec toutes tes maladies. Nous nous remettons avec peine de cette première année éprouvante. C'est si difficile de t'aimer quand ton seul mode de communication est de nous hurler dans les oreilles. Comment apprécier tes sourires quand ils suivent 1h de crise à pleins poumons ? Même si j'avais essayé de le formuler au mieux, vous auriez compris. Bref, je redoutais ce 17 avril...
... et puis finalement les maladies d'hiver s'en sont en allées au cours du mois de février.
... et puis tu as commencé à faire des gestes pour désigner ce que tu voulais ou ne voulais pas AVANT de hurler comme un sauvage.
... et puis tu t'es mis à te déplacer à 4 pattes sans râler.
... et puis tu remanges de tout et avec bonheur.
... et puis te mets même à parler pour dire Ava (Au revoir) en secouant la main à bon escient.
... Tu redoubles de sourires.
... Tu fais des câlins à tes peluches pour nous faire fondre.
... Tu esquisses tes premiers pas.
... Tu joues de longs moments seul dans la chambre de Lucile.
... Tu apprends à donner et à ne plus tout jeter.
Bref, nous reprenons peu à peu pied pour profiter de ta petite personne.
... Et alors les crises "roulé par terre" que tu nous fais et la montagne de jouets en vrac dans tout l'appart' que tu génères derrière toi peuvent alors passer sereinement.
(Oh j'avoue ! Des soirs comme hier, tu sais à nouveau me pousser dans mes retranchement, me voler mes dernières miettes d'énergie et me faire aboyer sur toute la famille,... mais dans l'ensemble je crois que je t'aime à nouveau. Bon anniversaire mon petit bout.)
jeudi 19 mars 2009
Premiers pas
Ce coup-ci il y en avait trois à la suite. Entre Ouazna et Maman, puis entre Maman et Ouazna... et puis ce soir encore entre Papa et Maman et entre Maman et Papa...
Comme Lucile à la même époque je me concentre sur les deux premiers pas puis je me jette en avant vers les bras qui me cueillent.
C'est encore un peu précipité mais il faut dire que ce qui m'éclate le plus, ce n'est pas de marcher, c'est d'essayer de me tenir debout tout seul. Une fois mes deux mains lâchées je me hausse sur la pointe des pieds, une, deux, trois fois... jusqu'à ce que je perde l'équilibre. Soit je me rattrape avec les mains et je recommence aussi tôt, soit je retombe sur mes fesses et je pars à quatre pattes pour me redresser un peu plus loin.
---------------------------------
D'ailleurs sans être vraiment un expert en la matière (c'est toujours trop fatiguant), je maîtrise l'assoyage, le penchage en avant pour me mettre à quatre pattes, le déplacement àquatre pattes, puis le basculement de coté pour revenir à la position assise puis éventuellement une remise debout. Bref, je peux enfin aller ou je veux.
Comme Lucile à la même époque je me concentre sur les deux premiers pas puis je me jette en avant vers les bras qui me cueillent.
C'est encore un peu précipité mais il faut dire que ce qui m'éclate le plus, ce n'est pas de marcher, c'est d'essayer de me tenir debout tout seul. Une fois mes deux mains lâchées je me hausse sur la pointe des pieds, une, deux, trois fois... jusqu'à ce que je perde l'équilibre. Soit je me rattrape avec les mains et je recommence aussi tôt, soit je retombe sur mes fesses et je pars à quatre pattes pour me redresser un peu plus loin.
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D'ailleurs sans être vraiment un expert en la matière (c'est toujours trop fatiguant), je maîtrise l'assoyage, le penchage en avant pour me mettre à quatre pattes, le déplacement àquatre pattes, puis le basculement de coté pour revenir à la position assise puis éventuellement une remise debout. Bref, je peux enfin aller ou je veux.
mercredi 25 février 2009
Et côté langage ?
Que de progrès en ce moment côté motricité !
Et le langage, me direz-vous ?
Bah, bof ! J'ai bien compris que je peux faire des sons. J'ai bien compris aussi que on peut utiliser sa voix pour communiquer (Eh oui, Jonas, c'est une très bonne alternative aux pleurs. Félicitations d'avoir enfin compris : c'est super !) mais je garde surtout pour moi mes prouesses verbales.
Y'a bien quelques fois où je m'étrangle de mes propres mots quand on fait les fous avec Lucile. Faut dire que dans le feu de l'action je perds un peu de ma réserve. Je rigole dans les deux sens : en expirant, mais aussi en inspirant l'air.
Mais sinon, quand je bavasse, c'est moi tout seul qui ai décidé de parler.
En fait, vous ne le savez pas mais je parle à mes mains : quand elles manipulent un jouet sous tous les angles, je les encourage : "a - é - a - é - a - é - a - é"
Parfois sur la table à langer, quand on me souffle un peu le texte, j'arrive à y accoler des consonnes : "tttâ" ou "fâ". Dans les bons jours je veux bien faire le bébé modèle et enchaîner quelques "tttttâtâtâtâttt" mais ce sera tout.
Et le langage, me direz-vous ?
Bah, bof ! J'ai bien compris que je peux faire des sons. J'ai bien compris aussi que on peut utiliser sa voix pour communiquer (Eh oui, Jonas, c'est une très bonne alternative aux pleurs. Félicitations d'avoir enfin compris : c'est super !) mais je garde surtout pour moi mes prouesses verbales.
Y'a bien quelques fois où je m'étrangle de mes propres mots quand on fait les fous avec Lucile. Faut dire que dans le feu de l'action je perds un peu de ma réserve. Je rigole dans les deux sens : en expirant, mais aussi en inspirant l'air.
Mais sinon, quand je bavasse, c'est moi tout seul qui ai décidé de parler.
En fait, vous ne le savez pas mais je parle à mes mains : quand elles manipulent un jouet sous tous les angles, je les encourage : "a - é - a - é - a - é - a - é"
Parfois sur la table à langer, quand on me souffle un peu le texte, j'arrive à y accoler des consonnes : "tttâ" ou "fâ". Dans les bons jours je veux bien faire le bébé modèle et enchaîner quelques "tttttâtâtâtâttt" mais ce sera tout.
mardi 24 février 2009
Premier pas
Ne vous affolez pas, j'ai pas mis de "s" à premier !
Là, tout à l'heure, j'étais dans la classe de Lucile avec Maman et, je sais plus pourquoi, ce qu'il y avait de super intéressant dans les mains de Mariette mais... j'ai lâché ma main de la petite chaise, tendu un pied, changé d'appuis et hop, ça y'est j'ai fais un pas !
Juste un !
... mais tellement négligemment que Mariette a du se pincer, pour être sûre...
Là, tout à l'heure, j'étais dans la classe de Lucile avec Maman et, je sais plus pourquoi, ce qu'il y avait de super intéressant dans les mains de Mariette mais... j'ai lâché ma main de la petite chaise, tendu un pied, changé d'appuis et hop, ça y'est j'ai fais un pas !
Juste un !
... mais tellement négligemment que Mariette a du se pincer, pour être sûre...
Et 1, et 2, et 3-0 !
Et v'la la troisième dent qui est sortie.
(Comme ça, sans bruit, sans pleurs ni fesses rouges ! Youpi)
(Comme ça, sans bruit, sans pleurs ni fesses rouges ! Youpi)
samedi 21 février 2009
Sans les mains
Hé hé !
Des fois, comme je maîtrise trop bien mon tour du parc, bin je lâche les deux mains d'un coup... pour voir... Bin je tombe même pas ! Et qu'est ce que je me marre !
Pis aussi, comme c'est trop facile, bin je me dresse sur la pointe des pieds un p'tit coup... toujours sans les mains ! J'éclate de rire.
Et même, même... des fois, quand je me relève en prenant appuis sur un truc un peu bas, bin je termine de me redresser sans appui, comme ça pour voir... Hop, je tiens tout seul debout... Mais là, je retombe sur mes fesses !
Qu'est ce que j'me marre en ce moment !
Des fois, comme je maîtrise trop bien mon tour du parc, bin je lâche les deux mains d'un coup... pour voir... Bin je tombe même pas ! Et qu'est ce que je me marre !
Pis aussi, comme c'est trop facile, bin je me dresse sur la pointe des pieds un p'tit coup... toujours sans les mains ! J'éclate de rire.
Et même, même... des fois, quand je me relève en prenant appuis sur un truc un peu bas, bin je termine de me redresser sans appui, comme ça pour voir... Hop, je tiens tout seul debout... Mais là, je retombe sur mes fesses !
Qu'est ce que j'me marre en ce moment !
jeudi 5 février 2009
Le grand tour du propriétaire
Bon, le problème de glissement des pieds est résolu : Maman m'a acheté des petits chaussons en cuir souple !
Quant à me relever, maintenant, y'a plus de soucis ! J'ai les bras pleins de biscotos et des cuisses en béton. Même si je préfère toujours me relever en m'agrippant fermement aux barreaux du parc, je tente maintenant d'autres supports (canapé, chaise, Lucile,... ) ce qui me permet de partir à l'exploration de l'extérieur du parc !
Je longe tout ce qui se trouve à ma hauteur. Et hop, à moi le piano sur le canapé, les papiers sur la table du salon, ...
J'ai tenté hier de prendre appui sur un bout de mur pour rejoindre Mariette depuis le fauteuil. Je ne suis pas tombé mais... Brrr ! Les murs c'est trop vertical et trop lisse pour moi. J'attendrai encore un peu avant de recommencer !
Bref, je suis super heureux car je peux suivre un peu Lucile (qui en plus d'avoir la parlotte à aussi le bougeotte !) et surtout attraper tout plein de trucs pas pour moi !
Quant à me relever, maintenant, y'a plus de soucis ! J'ai les bras pleins de biscotos et des cuisses en béton. Même si je préfère toujours me relever en m'agrippant fermement aux barreaux du parc, je tente maintenant d'autres supports (canapé, chaise, Lucile,... ) ce qui me permet de partir à l'exploration de l'extérieur du parc !
Je longe tout ce qui se trouve à ma hauteur. Et hop, à moi le piano sur le canapé, les papiers sur la table du salon, ...
J'ai tenté hier de prendre appui sur un bout de mur pour rejoindre Mariette depuis le fauteuil. Je ne suis pas tombé mais... Brrr ! Les murs c'est trop vertical et trop lisse pour moi. J'attendrai encore un peu avant de recommencer !
Bref, je suis super heureux car je peux suivre un peu Lucile (qui en plus d'avoir la parlotte à aussi le bougeotte !) et surtout attraper tout plein de trucs pas pour moi !
jeudi 29 janvier 2009
lundi 19 janvier 2009
Je rampe
Le 4 pattes, c'est trop nul : ça fait mal aux genoux !
Avant j'essayais bien de faire du 4 pattes directement sur les pieds mais ces foutus fémurs sont décidément trop grands : c'est beaucoup trop instable.
Du coup, quand je suis abandonné au sol loin de tout objet qui pourrait m'aider à me mettre assis puis debout, je rampe :
Oh, oui d'accord, je vous vois venir : "tout ça pour quelques centimètres !"
Je l'avoue, en progression linéaire je ne suis pas des plus rapides... mais pour tourner sur moi-même et balayer d'un revers de main tout ce qui se trouve dans un rayon de 60cm autour de mon nombril, là, je vous prend quand vous voulez.
Et pis de toute façon, ce mode de déplacement n'est que temporaire : je suis à fond dans la découverte de la marche.
Avant j'essayais bien de faire du 4 pattes directement sur les pieds mais ces foutus fémurs sont décidément trop grands : c'est beaucoup trop instable.
Du coup, quand je suis abandonné au sol loin de tout objet qui pourrait m'aider à me mettre assis puis debout, je rampe :
- extension de la main droite pour fixer la direction de progression
- avancée et mise en place du coude gauche
- traction sur le coude avec ondulation des jambes pour avancer de quelques centimètres
Oh, oui d'accord, je vous vois venir : "tout ça pour quelques centimètres !"
Je l'avoue, en progression linéaire je ne suis pas des plus rapides... mais pour tourner sur moi-même et balayer d'un revers de main tout ce qui se trouve dans un rayon de 60cm autour de mon nombril, là, je vous prend quand vous voulez.
Et pis de toute façon, ce mode de déplacement n'est que temporaire : je suis à fond dans la découverte de la marche.
dimanche 18 janvier 2009
En voiture...
Bon, c'était plus possible de voyager dans le cosy, dos à la route : j'avais les pieds emboutis dans le dossier du siège. Du coup, maman à enfin pris le temps de :
Nous avons essayé tout ça pour aller voir Lou ce week-end (Lucile avait un petit ensemble à lui rendre et quelques virus à lui donner) et j'ai bien aimé ma nouvelle place : je suis un peu plus haut qu'avant donc je vois super bien le paysage... et pis je peux aussi dévorer ma soeur des yeux.
Bref, c'est trop bien de grandiR.
- localiser le siège auto dans la cave
- regarder l'étiquette du siège pour voir à partir de quel poids on peut l'utiliser
- me peser
- regarder à partir de quel age on peut voyager face à la route
- sortir le siège auto de son carton et le dépoussiérer
- l'installer derrière, à coté de celui de ma grande sœur.
Nous avons essayé tout ça pour aller voir Lou ce week-end (Lucile avait un petit ensemble à lui rendre et quelques virus à lui donner) et j'ai bien aimé ma nouvelle place : je suis un peu plus haut qu'avant donc je vois super bien le paysage... et pis je peux aussi dévorer ma soeur des yeux.
Bref, c'est trop bien de grandiR.
mercredi 7 janvier 2009
Le tour du propriétaire
Je fais le tour de mon parc.
Je n'arrive pas encore super bien à me relever (faut dire qu'une fois sur deux j'ai les pieds qui dérapent. Et avec une jambe de chaque coté des barreaux, j'ai plus moyen de me remettre debout.) donc quand j'ai besoin de ramasser un jouet par terre, je préfère faire le tour du parc consciencieusement le long du bord, puis faire des flexions de jambes tenu d'un seul bras pour essayer la position accroupi.
Je n'arrive pas encore super bien à me relever (faut dire qu'une fois sur deux j'ai les pieds qui dérapent. Et avec une jambe de chaque coté des barreaux, j'ai plus moyen de me remettre debout.) donc quand j'ai besoin de ramasser un jouet par terre, je préfère faire le tour du parc consciencieusement le long du bord, puis faire des flexions de jambes tenu d'un seul bras pour essayer la position accroupi.
lundi 5 janvier 2009
La fin du rêve
Opération commando "test de l'HNI grandeur nature", adjudant Mariette au rapport :
Le sujet testeur, Jonas, a actuellement 8 mois et demi. -STOP-
Après un mois et demi d'HNI grandeur nature avec plus aucun caca dans une couche - tous dans les toilettes, le sujet testeur fait une ENORME rechute : -STOP- toute tentative de positionnement au dessus des-dites toilettes se solde par une posture de banane-volante totalement inadaptée et in-maitrisable -STOP- même lorsque le sujet a manifestement une envie pressante (ou gênante). Le sujet attend patiemment (non en fait, pas patiemment du tout, il teste alors le combo du ver de terre glissant lors du remettage de couche !) d'être rhabillé pour salir avec bonheur sa couche propre. -STOP-
Je ne vous parlerai pas du moral des troupes qui est au plus bas d'avoir à reprendre un rythme de 8 couches par jour dont 2 à 3 remplies de selles dont on avait allègrement oublié l'odeur. -STOP-
L'équipe à repris la stratégie des factions de base, soit attendre une couche remplie avant tout change. -STOP-
Les fesses de la banane volante sont donc dans un état catastrophique et nous pouvons renommer le sujet le ver luisant. -STOP- (Nos reporters tiennent à votre disposition une photo mais le QG des relations publiques et de la gestion des foules paniquées s'est opposé à une divulgation immédiate. Nous attendons vos ordres pour la diffusion!)
L'adjudant en chef tente vainement de ressaisir les troupes en continuant à montrer l'exemple par des propositions des toilettes inloupables, -STOP- mais chaque tentative est un échec cuisant et nous avons peur que ces essais de remotivation des troupes n'aient l'effet inverse. -STOP-
N'y voyez pas un sabordage ni une mutinerie mais l'ensemble de l'équipe souhaite interrompre l'opération H.N.I pour s'y remettre un peu plus tard -STOP- (peut-être quand le sujet aura testé ses limites dans la station debout - qui monopolise toute son attention - et pourra revenir à une station assise quelques minutes sans avoir l'impression d'être incarcéré, brimé, diminué, avili, rabaissé, ... Bref, pour lui être assis c'est trop la loose !)
-STOP-
(Pour ceux qui ne comprennent pas de quoi je cause, allez faire un tour ici.)
Le sujet testeur, Jonas, a actuellement 8 mois et demi. -STOP-
Après un mois et demi d'HNI grandeur nature avec plus aucun caca dans une couche - tous dans les toilettes, le sujet testeur fait une ENORME rechute : -STOP- toute tentative de positionnement au dessus des-dites toilettes se solde par une posture de banane-volante totalement inadaptée et in-maitrisable -STOP- même lorsque le sujet a manifestement une envie pressante (ou gênante). Le sujet attend patiemment (non en fait, pas patiemment du tout, il teste alors le combo du ver de terre glissant lors du remettage de couche !) d'être rhabillé pour salir avec bonheur sa couche propre. -STOP-
Je ne vous parlerai pas du moral des troupes qui est au plus bas d'avoir à reprendre un rythme de 8 couches par jour dont 2 à 3 remplies de selles dont on avait allègrement oublié l'odeur. -STOP-
L'équipe à repris la stratégie des factions de base, soit attendre une couche remplie avant tout change. -STOP-
Les fesses de la banane volante sont donc dans un état catastrophique et nous pouvons renommer le sujet le ver luisant. -STOP- (Nos reporters tiennent à votre disposition une photo mais le QG des relations publiques et de la gestion des foules paniquées s'est opposé à une divulgation immédiate. Nous attendons vos ordres pour la diffusion!)
L'adjudant en chef tente vainement de ressaisir les troupes en continuant à montrer l'exemple par des propositions des toilettes inloupables, -STOP- mais chaque tentative est un échec cuisant et nous avons peur que ces essais de remotivation des troupes n'aient l'effet inverse. -STOP-
N'y voyez pas un sabordage ni une mutinerie mais l'ensemble de l'équipe souhaite interrompre l'opération H.N.I pour s'y remettre un peu plus tard -STOP- (peut-être quand le sujet aura testé ses limites dans la station debout - qui monopolise toute son attention - et pourra revenir à une station assise quelques minutes sans avoir l'impression d'être incarcéré, brimé, diminué, avili, rabaissé, ... Bref, pour lui être assis c'est trop la loose !)
-STOP-
(Pour ceux qui ne comprennent pas de quoi je cause, allez faire un tour ici.)
vendredi 2 janvier 2009
dimanche 30 novembre 2008
Recto-verso
Et voilà, je passe sans soucis du ventre sur le dos.
J'ai bien encore un peu la tête qui cogne par terre un peu fort mais ça ne m'arrache plus les pleurs de surprise du début.
J'ai bien encore un peu la tête qui cogne par terre un peu fort mais ça ne m'arrache plus les pleurs de surprise du début.
samedi 22 novembre 2008
Quenotte
Eh bin tant qu'à être malade, autant tout faire en même temps : toux, nez qui coule, diarhée, appetit d'oiseau, ...
Et cet après-midi après avoir usé mon père ("Mais qu'est-ce qu'il est ch.... aujourd'hui !"), j'ai sorti ma première dent : mon incisive du bas à gauche.
Courage papa et maman : plus que 19 !
Et cet après-midi après avoir usé mon père ("Mais qu'est-ce qu'il est ch.... aujourd'hui !"), j'ai sorti ma première dent : mon incisive du bas à gauche.
Courage papa et maman : plus que 19 !
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